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 Aube et Crépuscule.

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MessageSujet: Aube et Crépuscule.   Aube et Crépuscule. Icon_minitimeMar 4 Mar - 22:42

Aller, hop, un texte de plus ! Certains le connaissent déjà, d'autres non. Je l'ai écrit pour un concours qui se déroule sur ma région, un concours d'écriture, où j'ai choisit d'écrire une nouvelle. Il me semble avoir déjà posté sur l'ancienne acad' "Anagramme", très courte, celle ci est un peu plus longue. J'aimerais un petit commentaire structuré et pas de "'c'est trop cool" (ouais, je le sais déjà xD nan, je rigole ^^), ça fait toujours plaisir à votre auteur en herbe qui après la poésie et la nouvelle voudrait se lancer dans le théâtre. Bref, j'vous en dis pas plus, à part que c'est pas gai ni drôle. Bonne lecture !

Aube et Crépuscule.


Depuis combien de temps suis-je ici ? Je ne sais plus... Mais quelle importance cela a-t-il ? Quand bien même la moindre idée m’aurait effleuré l’esprit, je sais juste que notre furtive vie s’achèvera demain à l’aube. Notre destin a coulé entre nos doigts, comme l’eau d’une rivière, et se figera dans nos vaines, glacé, comme le lac gelé de l’hiver. Notre destin ? Non, je ne suis pas seul à attendre la fin, et voir la main blanche de la Grande Faucheuse se tendre vers moi. Mes compagnons d’infortune sont reclus en cette morbide cellule à mes côtés. L’espoir en nous n’est plus que ruines. Et nous savons que si durant tout ce temps nous n’avons pu nous échapper, cette dernière nuit où la lune resplendira dans nos pupilles mornes ne nous portera pas plus conseil. Nous nous sommes résignés à suivre le chemin de l’au-delà. Peut-être, après tout, est-il meilleur que l’autre voie, celle que nous avons arpentée, en défendant notre noble cause. Le destin ne cherche pas à savoir qui est dans le juste et qui a tord. Car les causes que chacun sert sont pour lui les meilleures. Nous rendrons l’âme en ne regrettant que la vie dont nous n’avons pas su profiter à sa juste valeur, en courant derrière une cause perdue. En vain. Toutes ces vies que nous avons ôtées, toutes ses âmes parties rejoindre le gouffre des enfers, cette guerre dépourvue de sens… Seuls nos noms seront gravés sur son cœur de pierre, après qu’à notre tour, notre sang ait coulé. Mais toutes les bonnes choses ont une fin. Notre furtif passage dans ce monde déchiré par l’inconscience de ces hommes qui en envoient au front, risquant à chaque instant de tomber, inertes, est-elle vraiment une bonne chose ? Cette question restera en suspend comme tant d’autres tandis que nos esprits se rendront loin, très loin, ailleurs, dans un autre monde

Penché sur la petite table de bois dévorée par les mites, une plume à la main, une multitude de feuilles de papier apportée par nos geôliers comme dernier bien que nous possédons, ma main défile, s’affole et se redresse au contact et au bruissement des feuilles sous mes doigts. Cela faisait si longtemps… A présent, on m’offrait avant de trépasser d’aligner des mots pour vous raconter notre périple. Fébriles, mes doigts effleurent religieusement cette plume offerte, la saisissent délicatement et la posent sur la feuille vierge. Ma main entreprend d’effectuer quelques lettres, et je me lance à corps perdu dans le récit de quelques inconscients qui voulaient faire triompher la paix sur ce monde de haine et de fourberies…

Par où commencer ? Tellement d’éléments à coucher sur papier, et si peu de temps… Peu importe si cette entreprise me coûte ma dernière nuit en ce bas monde, je n’ai plus rien à perdre, demain sera trop tard pour avoir des regrets. Tandis que les derniers survivants dorment d’un sommeil troublé, entrecoupé de soubresauts violents, mes cernes de couleur violacée creusant mes joues déjà cadavériques et mes mains osseuses longées de doigts noueux ne me rebutent plus. Elles seront le dernier instrument de notre mémoire, qui nous permettra de vivre à jamais à travers ces mots.

Les hommes défrichés que nous sommes ont été jeunes et robustes, fougueux et animés de hargne, le cœur empli de justice et les pensées guidées d’idéaux. A cette époque, nous étions de jeunes adultes sortis d’une adolescence passée à travailler dans les champs tout en courtisant la fille du voisin, qui jamais ne céda sous nos instances. C’est l’année même où cette joyeuse compagnie fêtait l’âge légal de ces jeunes personnes que la guerre éclata. Notre vie en fut brutalement ébranlée, et mobilisés pour le service à la patrie, nous quittâmes familles et campagnes pour une rapide introduction à la vie de soldat, censée nous former à celle que nous allions mener le reste de la guerre durant. On nous l’avait annoncée courte, « rentrés pour la Noël » disaient-ils… De solides gaillards formés dès le plus jeune âge à une vie rude n’avaient pas peur de l’ennemi, et partir se battre pour défendre notre pays nous semblait une formidable expérience ainsi qu’une juste cause. Il s’avéra vite le contraire, et notre naïveté nous mena à notre perte, notre envie de justice guida nos armes contre l’ennemi, pour une cause plus importante que la reprise de quelques territoires perdus. Nous nous battions pour notre survie.

Une réminiscence soudaine. Un sourire. Ou bien son esquisse. A quoi cela ressemble-t-il déjà ? Les coins de la bouche qui s’étirent de chaque côté, dévoilant les pensées de son interlocuteur. Il peut-être rassurant, chaleureux, sincère, ou même hypocrite, mais un sourire reste un sourire, l’une des plus belles preuves d’amitié et de solidarité que l’on puisse offrir à un autre dans les cas aussi désespérés que nous.

Les images se succèdent dans mon esprit sans grande importance, sinon celles d’une monotonie affligeante, celles de la peur à chaque seconde, celles de la folie qui vous prend alors qu’on lance l’assaut, celles d’un champ de mort, où elle contamine son entourage à une vitesse folle, à mesure que les hommes tombent sous le feu des balles, celles de la fatigue lisible sur les visages des survivants, de la famine et l’incompréhension qui vous submerge après que vous ayez pris conscience que toutes les belles paroles prononcées qui vous promettaient victoire et honneur se soient évaporées, avec les âmes des défunts. Avec les âmes de vos amis.

Vivre terrés dans des tranchées creusées par nos bras entrains, accueillant des désespérés, de pauvres bougres qui auraient tout fait pour revenir en arrière, qu’y a-t-il de pire à cela ? A rester des heures durant sans bouger, au milieu du froid hivernal de Verdun, de notre triade infernale : le fer, le feu et la boue, aux côtés de corps en putréfaction, attendant d’être inhumés dignement. L’attente insoutenable de nouvelles de l’extérieur, de nos familles, et au signal donné…se lancer à corps perdu contre l’ennemi décrit comme inhumain, tirer, on ne sait où, entendre malgré nous les gémissements de douleur, les pleurs, les supplications… Qui sait combien de pères, de frères et de fils nos armes ont-elles abattus ? Qui sait si nous valions, au final, mieux qu’eux ? Etions-nous si différents ? Car mis à part la barrière de la langue, nous faisions tous partie du même bateau, enrôlés par des promesses à jamais perdues, se retrouvant dans le feu de l’action sans plus en comprendre l’utilité. Mais dans la guerre, le rôle des hommes consiste surtout à survivre - et mourir - dans les pires conditions sur un terrain transformé en enfer, tout cela pour un résultat militaire nul.

Un matin me revient en mémoire. Celui qui a été pour nous le début de la fin. Du courrier venait d’arriver, et, dans notre état, nous eûmes du mal à accueillir celui qui nous remettait personnellement notre correspondance. Je le suivais du regard, allant de l’un à l’autre, passant plusieurs fois devant moi. Non pas que j’aie été pressé, mais lire l’écriture penchée et appliquée de ma sœur qui me donnait des nouvelles de la situation de la famille aurait été un grand réconfort. Certains soldats affichaient des mines joyeuses, un peu de soleil qui viendrait illuminer leur journée, tandis que d’autres versaient une larme et se laissaient choir à même la terre. L’un de nos compagnons ce matin là venait de recevoir une lettre annonçant le mariage prochain de sa fille, et ce dernier, je pense, fut le plus heureux d’entre nous.
Mais je ne reçus rien. Aucun message, même furtif. Rien. L’inquiétude m’envahit. Qu’avait-il pu arriver à la ferme ? Le courrier avait-il été retardé ? Perdu ? Je ne pus pousser mes réflexions plus loin. L’un de mes éternels amis venait de lire son courrier. Il poussa un long cri plein de peine, de désespoir et de haine. Ne sachant que faire, je lui arrachai la feuille des mains, et à mon tour manquai de défaillir. Je ne voulais pas y croire. Ces mots qui se succédaient devant mes pupilles ébahies n’avaient aucun sens, ne pouvaient en avoir un… On nous annonçait crument le bombardement de notre paisible campagne. Il n’y avait eu aucun survivant. Nos familles, nos amis, nos voisins… Tous avaient trouvé la mort dans cette attaque. Des innocents. Toujours des innocents à qui on arrachait sauvagement la vie.

Il ne nous restait plus rien, seulement nos yeux pour pleurer, et notre conscience pour se lamenter sur ce triste sort qui s’acharnait sur quelques jeunes paysans. A chaque fois, il y avait des morts. Chacun nous présenta leurs plus sincères condoléances, et l’on pouvait sentir dans leur timbre secoué de pitié, une profonde sincérité. Tous savaient que ce qui venait de nous arriver les visait aussi. La prochaine fois, qui sait ? Peut-être serait-ce à leur tour de faire ce deuil. Ce que personne ne savait, c’est qu’il n’y aurait pas de prochaine fois.

La matinée nous parut interminable. Aucune parole ne fut échangée. Seule l’ondée qui tombait en gouttes fines, ruisselant sur nos joues, se mêlant à nos larmes, paraissait effacer notre souffrance, emportant avec elle nos pleurs. Retranchés, comme à notre habitude, nous écoutions les bruits alentours. Voilà plusieurs jours qu’aucun assaut n’avait été lancé, et pertinemment, nous avions la certitude que le prochain serait proche. Des échos nous parvenaient des décisions prises par nos supérieurs, restant au chaud, les pieds sous le bureau, tandis que nous passions les pires moments de notre vie à attendre le signal d’attaque, après lequel nous savions que notre petite troupe ne serait pas au complet une fois le calme revenu.
L’épuisement s’était emparé de nous tous. Notre saleté nous répugnait. Les forces nous manquaient. Et notre flamme brûlait sur un tas de cendres. Eteinte. C’est alors, qu’au loin, un long tintement vint faire vibrer nos corps engourdis. Des cris s’élevaient, des paroles, dont nous ne comprenions pas un traître mot… L’ennemi allait frapper. Le signal était lancé. Ce massacre serait le dernier auquel nous participerions.

La folie gagna les rangs. Les soldats sortaient des tranchées dans tous les sens, et déjà, le bruit assourdissant des armes fouettait l’atmosphère. Mon fusil en main, je me jetai à corps perdu dans cette sanglante bataille. Il ne me restait plus rien. Ma vie n’avait plus aucun sens à mes yeux, et la mort est délivrance quand la vie n’est que souffrance. Cependant, je voulais mourir dans le feu de l’action, en me battant, et ne la voyant pas arriver. Mais elle ne vint pas. Le terrain était plongé dans le chaos et la terreur. Nous en faisions partie.
Je ne pensais plus à rien, mon esprit put capter quelques informations, mais ne voulut les analyser. Et il y eut ce soldat, ce soldat ennemi, gisant à mes pieds, agonisant. Mais il réussit à prononcer dans un français approximatif quelques suppliques dont je ne saisis le sens. Alors, je ne sais si ce fut pour abréger ses souffrances ou me venger de mon malheur, mon arme se leva et acheva le malheureux. Ma vision se troubla, je me sentis comme envahi par la folie qui avait fini par prendre possession de mes moyens. Là, une tache pourpre…La lettre…Cette lettre qui faisait de moi une moitié d’être…Avait pris la marque rouge de ma victime, comme pour me rappeler qui en était à l’origine. Alors je m’étais laissé tomber, mes mains contre ma figure, déversant toutes les larmes de mon corps, nourrissant de ces gouttes salées la terre dévastée. Puis tout devint confus. Seules des voix me parvenaient, m’incitant à me relever, mais je n’écoutais plus. Les bruits alentours ne signifiaient rien. Ici, à côté du soldat abattu, j’aurais voulu m’étendre et me laisser guider dans les sombres abimes de l’autre monde… Mais on m’en empêcha. Mes compagnons reculèrent en cercle vers moi. Je crus un instant à notre victoire, cependant trop simple. Il n’en était rien. On nous avait prit au piège, nous tendant un guet apens, pour finalement prendre le dessus. Nous ne fûmes pas abattus, mais retenus comme prisonniers de guerre. L’euphorie se lisait dans les yeux des soldats ennemis. Leurs canons tendus dans notre direction, un sourire carnassier les dévisageant, ils se régalaient de leur capture. Celle de pauvres fous.

C’est par la suite que nous fûmes transportés en cette prison, dans laquelle j’attends depuis trop longtemps maintenant. Les autres pleurent, maintenant réveillés. Leur vie aura été aussi courte que la mienne, et très certainement aussi folle. Dans ma tête résonne un nom… Erich von Falkenhayn…Cet homme qui avait conçu ce plan fou de nous tenir en siège alors que nous ne nous en rendions pas compte, certains d’être en sécurité. C’est dire à quel point notre ignorance était importante…

Mais je dois poser ma plume, car déjà le crépuscule de mon existence se veut oppressant. Ainsi s’achève cette nuit à laquelle j’aurais consacré les dernières heures de mon passage sur Terre, tandis qu’au loin se lève l’aube d’un nouveau jour qui comptera de nouvelles victoires, de nouvelles naissances et de nouveaux morts, dans ce cercle vicieux que représente ce bas monde, contrôlé par le vice, la haine et le mensonge.
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MessageSujet: Re: Aube et Crépuscule.   Aube et Crépuscule. Icon_minitimeMar 4 Mar - 22:50

Abrége è_é clown

Bien , long mais bien Neutral
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cabale
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MessageSujet: Re: Aube et Crépuscule.   Aube et Crépuscule. Icon_minitimeMar 4 Mar - 23:30

Faux que je vérifie un truc... je connais cette plume....
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MessageSujet: Re: Aube et Crépuscule.   Aube et Crépuscule. Icon_minitimeMer 5 Mar - 0:19

Ouais, la mienne surement clown
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MessageSujet: Re: Aube et Crépuscule.   Aube et Crépuscule. Icon_minitimeMer 5 Mar - 11:22

super

Ps: ta mis combien de temps pour ecrire tous ca?
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MessageSujet: Re: Aube et Crépuscule.   Aube et Crépuscule. Icon_minitimeMer 5 Mar - 14:05

guigui a écrit:
super

Ps: ta mis combien de temps pour ecrire tous ca?

Pas des masses... Mais disons aller... 5 soirées à travailler 1h à 1h30 dessus et un petite heure de relecture, correction, ajouts et tout. Compte entre 6et 7 heures ^^
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MessageSujet: Re: Aube et Crépuscule.   Aube et Crépuscule. Icon_minitimeMer 5 Mar - 14:06

ah oki lool

[PUB]Et ma Fic ?^^ [PUB]
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MessageSujet: Re: Aube et Crépuscule.   Aube et Crépuscule. Icon_minitimeJeu 6 Mar - 22:45

Up, pour les feignants What a Face
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MessageSujet: Re: Aube et Crépuscule.   Aube et Crépuscule. Icon_minitimeDim 9 Mar - 19:39

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MessageSujet: Re: Aube et Crépuscule.   Aube et Crépuscule. Icon_minitimeDim 9 Mar - 19:41

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MessageSujet: Re: Aube et Crépuscule.   Aube et Crépuscule. Icon_minitimeDim 9 Mar - 20:53

Bien, très bien même.

C'est rare de voir quelqu'un qui écrit si bien.
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MessageSujet: Re: Aube et Crépuscule.   Aube et Crépuscule. Icon_minitime

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